Respectez les derniers volontés d’une personne, respectez cette personne… Il n’est jamais bien drôle de tomber malade, encore bien moins quand il n’y a plus d’espoir de s’en sortir et que la mort nous attend à grand pas.
La majorité des nord-américains préfèreraient mourir à la maison s’ils en avaient le choix mais la plupart finiront leur jour dans un hôpital entouré de machines et d’étrangers.
La situation toutefois change dans les hôpitaux de la vallée de San Francisco. Ils ont de nouveaux programmes qui aident leur patients à comprendre le vocabulaire médical. Ils veulent redéfinir la différence entre se battre contre la maladie et l’accepter.
Greg Bartschenfeld est de ce lot. L’automne dernier, le cancer de la gorge est revenu en force après une rémission et s’est maintenant répandu dans ses poumons, bras et jambes. Il n’y a plus d’espoir pour ce brave homme de 58 ans. Il a eu une dose de chimiothérapie pour gagner du temps mais en janvier, il a opté pour des soins à la maison pour terminer ses derniers jours de façon heureuse et paisible. En février, il a même épousée sa copine de longue date, Dana. Elle connait également la bataille que son mari mène car elle-même a survécu un cancer. Depuis, ils passent chaque minute ensemble comme si c’était la dernière.
Cette situation n’est pas unique à la Silicon Valley. Il y a deux semaines, je suis tombée sur cette article publié en Inde (http://www.hindu.com/mag/2008/11/23/stories/2008112350260600.htm) et après avoir contactée la journaliste, Meena Menon, j’ai pue en savoir un peu plus sur leur situation. Il y a beaucoup de similarités. Comme aux USA, être malade est souvent une affaire de riche.
Pour en savoir plus sur l’histoire de Greg Bartchenfeld et l’aide des hôpitaux envers ses patients, visitez le lien suivant: http://www.mercurynews.com/topstories/ci_12787669.
------------------------------------------------------------------------------------------------
Respect a person’s last wishes, respect this person… It is never really happy to get sick, it is even less when there is no hope to survive and death is coming with big steps.
The majority of North-American people would prefer to die at home if they had the choice but most of them will end have their final rest in a hospital surrounded by machines and strangers.
The situation is however turning around in the Silicon Valley hospitals. There are new programs to help their patients understand the medical vocabulary. They want to redefine the difference between fighting death and accepting it.
Greg Bartchenfeld is of that number. Last Fall, a throat cancer came back strongly after remission and now has spread through his lungs, arms, and legs. There is no more hope for this brave man of 58. He received a chemotherapy dose to gain more months of life but he decided to be at home to finish his days on a happier and peaceful way. In February, he married his long-time sweetheart, Dana. She has known such battle as she is a cancer survivor herself. Since then, they spend every minute together as if it were the last one.
This situation is not unique to Silicon Valley. Two weeks ago, after stumbling off the Internet on an article published in India (http://www.hindu.com/mag/2008/11/23/stories/2008112350260600.htm) and after contacting the journalist, Meena Menon, I was able to know a little bit about their situation. There are a lot of similarities. Like in USA, being sick is often a rich man business.
To know more on Greg Bartchenfeld’s story and all the help local hospitals do toward their patients, visit the following link: http://www.mercurynews.com/topstories/ci_12787669.
La majorité des nord-américains préfèreraient mourir à la maison s’ils en avaient le choix mais la plupart finiront leur jour dans un hôpital entouré de machines et d’étrangers.
La situation toutefois change dans les hôpitaux de la vallée de San Francisco. Ils ont de nouveaux programmes qui aident leur patients à comprendre le vocabulaire médical. Ils veulent redéfinir la différence entre se battre contre la maladie et l’accepter.
Greg Bartschenfeld est de ce lot. L’automne dernier, le cancer de la gorge est revenu en force après une rémission et s’est maintenant répandu dans ses poumons, bras et jambes. Il n’y a plus d’espoir pour ce brave homme de 58 ans. Il a eu une dose de chimiothérapie pour gagner du temps mais en janvier, il a opté pour des soins à la maison pour terminer ses derniers jours de façon heureuse et paisible. En février, il a même épousée sa copine de longue date, Dana. Elle connait également la bataille que son mari mène car elle-même a survécu un cancer. Depuis, ils passent chaque minute ensemble comme si c’était la dernière.
Cette situation n’est pas unique à la Silicon Valley. Il y a deux semaines, je suis tombée sur cette article publié en Inde (http://www.hindu.com/mag/2008/11/23/stories/2008112350260600.htm) et après avoir contactée la journaliste, Meena Menon, j’ai pue en savoir un peu plus sur leur situation. Il y a beaucoup de similarités. Comme aux USA, être malade est souvent une affaire de riche.
Pour en savoir plus sur l’histoire de Greg Bartchenfeld et l’aide des hôpitaux envers ses patients, visitez le lien suivant: http://www.mercurynews.com/topstories/ci_12787669.
------------------------------------------------------------------------------------------------
Respect a person’s last wishes, respect this person… It is never really happy to get sick, it is even less when there is no hope to survive and death is coming with big steps.
The majority of North-American people would prefer to die at home if they had the choice but most of them will end have their final rest in a hospital surrounded by machines and strangers.
The situation is however turning around in the Silicon Valley hospitals. There are new programs to help their patients understand the medical vocabulary. They want to redefine the difference between fighting death and accepting it.
Greg Bartchenfeld is of that number. Last Fall, a throat cancer came back strongly after remission and now has spread through his lungs, arms, and legs. There is no more hope for this brave man of 58. He received a chemotherapy dose to gain more months of life but he decided to be at home to finish his days on a happier and peaceful way. In February, he married his long-time sweetheart, Dana. She has known such battle as she is a cancer survivor herself. Since then, they spend every minute together as if it were the last one.
This situation is not unique to Silicon Valley. Two weeks ago, after stumbling off the Internet on an article published in India (http://www.hindu.com/mag/2008/11/23/stories/2008112350260600.htm) and after contacting the journalist, Meena Menon, I was able to know a little bit about their situation. There are a lot of similarities. Like in USA, being sick is often a rich man business.
To know more on Greg Bartchenfeld’s story and all the help local hospitals do toward their patients, visit the following link: http://www.mercurynews.com/topstories/ci_12787669.
Greg Bartchenfeld, mourant du cancer et sa femme Dana. /
Greg Bartchenfeld, who is dying of cancer and his wife Dana.
No comments:
Post a Comment