Nostalgiques des années 70s, vous aimerez cette chronique aujourd'hui. J'ai eue l'idée de parler des hippies, notamment appelés les poilus au Québec.
On parle souvent de cette époque comme étant le bon vieux temps où on passait ses journées à être "gelé", gratter sa guitare, habiter en commune et tout partager (même sa femme ou son mari, semble-t-il). J'étais enfant à l'époque (l'âge de mes enfants, entre autre). Je me souviens des vêtements qu'on portait à l'époque et tout ce qui était "in."
Le plus drôle, c'est lorsque je suis déménagée ici en 1993, cette mode vestimentaire était passé temps de longue date. Par contre, plusieurs personnes s'habillaient et s'habillent encore comme dans les années 70s ici. C'est comme si l'horloge du temps se serait arrêté pour eux!
En hommage à ceux-çi, voici une tribune photographique de gens qu'on retrouve ici en 2008 (on a pas besoin d'aller bien loin pour les voir). Les hippies (à ne pas confondre avec les yuppies, qui ont souvent un look métrosexuel et conduisent des SAABs ou BMWs) ne sont pas toujours à pieds. Même leur véhicules, souvent identifiés comme une picouille, est une fidèle image de leur personnalité.
Bon vendredi à tous. Peace!
Patelin adoré des hippies de San Francisco.
Poilu jusqu'à la mort.
J'ose imaginer que ce couple a sûrement suivi religieusement
en pelerinage le groupe musical Grateful Dead à l'époque.
J'ignore si cette bagnole roule encore mais
elle est pas mal voyante, en tout cas!
Je verrais bien Mr. Beans conduire celle-là.
Ce gars-là a literallement volé mon idée.
Je me plaignais souvent d'aller à l'école
avec un lourd portfolio et tout son contenu.
J'aurais dû faire comme lui: coller tout mes
crayons feutres sur le capot du char à la place!
Ça, quand tu es rendu à coller toutes sortes de cossins et
babioles sur ton auto, cela veut peut-être dire que tu as
trop de choses et que c'est le grand temps de faire le ménage!
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