Ma chronique couvre habituellement des évènements plus heureux que celle-çi aujourd'hui. Dans les manchettes depuis hier, on parlé évidemment de cette attaque contre un chercheur biomédical de la University of California à Santa Cruz. Cet université est situé tout près du centre-ville de Santa Cruz, du haut d'une colline.
La tension entre les activistes des droits des animaux et les chercheurs se faisaient sentir depuis plusieurs mois déjà. En février dernier, les activistes avaient tenu un mouvement de prostestation contre un chercheur en allant lui rendre visite à sa résidence. Le 31 juillet dernier, quelques clients de cafés adjacent ont trouvés des pamphlets qui menacaient déjà la vie des chercheurs. Dans ceux-çi, on y trouvait le nom, photo et numéro de téléphone personnel des 13 chercheurs biomédical de l'université. La police avait mis la main sur les pamphlets et avaient ouvert une enquete. L'attaque qui a eu lieu samedi à 6h00 du matin n'a pas couté la vie a personne mais la famille, composé du chercheur biomédical moléculaire David Feldheim, sa femme ainsi que leur deux jeunes enfants, a dut s'enfuir par le tunnel de secours.
Je me souviens d'une excursion sur les terrains de l'université avec un collège ou j'ai étudiée il y a quelques années. Notre professeur nous avait dit que les endroits où étaient localisés les animaux destinés à la recherche médical étaient top secret. On voit la raison maintenant.
Alors que beaucoup d'autres universités font de telles recherches à travers la Californie, aucunes n'amènent autant de controverse que la UC Santa Cruz. Santa Cruz est un paradis pour les végétariens donc le fait de savoir que la recherche animale se produit dans leur patelin provoque de la colère chez certains de ses résidents. Avis aux touristes: n'amenez surtout pas votre beau manteau de fourrure lorsque vous visiterez Santa Cruz!
Protestation devant une résidence d'un chercheur
biomédical de University of California in
Santa Cruz. Février 2008.
L'auto familiale de la victime.
Un policier qui vérifie l'état de l'entrée principale de la résidence
de la victime.
(Crédit de photos: Santa Cruz Sentinel)
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