Quand les gens veulent en savoir un peu plus sur leur avenir, ils fréquentent souvent une diseuse de bonaventure. Celle-çi aurait lue et interpréter à sa manière la lecture sur l’avenir.
C’est ce que j’ai fait avec Katie Rose, qui a pignon sur rue dans le centre-ville de
Santa Cruz. Sur sa carte, on lit qu’elle réunie les amoureux à tout jamais, elle balance le chakra et fait de la méditation avec son crystal.
Je dois humblement avoué que je n’ai vraiment pas été abasourdie par son éventail de services. Le pire dans son cas, c’est qu’elle m’a promise il y a plus d’un an. En me regardant les yeux, elle m’a dit que le cancer ne reviendrait plus jamais. MENTEUSE! Quelle soit une grosse emplâtre ou un méchant pétard, Katie Rose est à mon niveau une grosse emplâtre menteuse. Opinion personnel. Je vous invite à partager vos impressions face à ce service à la clientèle.
http://santacruz.patch.com/articles/santa-cruz-psychic-katie-rose-says-she-can-see-into-the-future#poll_1421
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When people want to know more about their future, they often attend a fortune-bonaventure. It would read and interpret in his own way of reading the future.
That's what I did with Katie Rose, who set up shop in the downtown
Santa Cruz. On the card it says it met the love forever, she balances the chakra makes meditation and with his crystal.
I must humbly confess that I really have not been stunned by the range of services. The worst in his case is that she promised me there is more than a year. Eyes looking at me, she told me that the cancer would never return. Liar! What is a big patch or a bad firecracker, Katie Rose is my standard a big liar plaster. Personal opinion. I invite you to share your impressions of this customer service.
http://santacruz.patch.com/articles/santa-cruz-psychic-katie-rose-says-she-can-see-into-the-future#poll_1421
s
Saturday, July 28, 2012
Friday, July 27, 2012
Monday, July 23, 2012
De toutes les couleurs! / Of all colors!
Quand j'habitais au Canada, il était rare de voir des autos peinturées de diverses couleurs. On savait que soit le conducteur était en préparatif pour réparer son auto, ou bien il s'était déniché une minoune pas cher ou bien, le conducteur était un éternel hippie.
Bref, il est assez commun de voir de telles autos ici. Rincez-vous bien l'oeil avec ces photos.
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When I was living in Canada, it was quite rare to see cars painted with multiple colors. We either knew the driver was about to have his car fixed and repainted or he got the car for a very low price or he is an eternal hippy.
But the scene of such car is common here in the Samta Cruz area. Have fun checking out those photos.
Bref, il est assez commun de voir de telles autos ici. Rincez-vous bien l'oeil avec ces photos.
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When I was living in Canada, it was quite rare to see cars painted with multiple colors. We either knew the driver was about to have his car fixed and repainted or he got the car for a very low price or he is an eternal hippy.
But the scene of such car is common here in the Samta Cruz area. Have fun checking out those photos.
Sunday, July 22, 2012
Saturday, July 21, 2012
Humour du jour / Humor of the Day
En ce beau samedi de juillet, je partage avec vous deux photos qui m'ont bien fait sourire la semaine dernière. Mashable est un site que je recommende si vous aimez la haute technologie mais aussi des articles originaux.
À toutes les semaines, ils ont leur liste de photos Twitter "coup de coeur" et j'ai bien aimée les deuz photos ci-dessous. Premièrement, Niki Minaj, une chanteuse que je n'aime pas beaucoup. Je n'ai jamais aimée Mrs Potato Head également donc quelle belle comparaison entre les deux.
Puis, concours de circumstances avec la saison estivale et ce BBQ improvisé. Trop drôle!
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On this gorgeous Saturday of July, I am sharing with you two photos that made me laugh out loud. Mashable is a website I highly recommend if you like high tech and original articles/photos.
Every week, they publish a list of the best Twitter photos published on the popular social media site and I fell in love with the photos below. First, Niki Minaj, a singer I don't particularly like. I also never liked Mrs. Potato Head so what a neat comparison between the two of them.
And finally, what a coincidence with our summer season and this improvised BBQ. Too funny!
À toutes les semaines, ils ont leur liste de photos Twitter "coup de coeur" et j'ai bien aimée les deuz photos ci-dessous. Premièrement, Niki Minaj, une chanteuse que je n'aime pas beaucoup. Je n'ai jamais aimée Mrs Potato Head également donc quelle belle comparaison entre les deux.
Puis, concours de circumstances avec la saison estivale et ce BBQ improvisé. Trop drôle!
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On this gorgeous Saturday of July, I am sharing with you two photos that made me laugh out loud. Mashable is a website I highly recommend if you like high tech and original articles/photos.
Every week, they publish a list of the best Twitter photos published on the popular social media site and I fell in love with the photos below. First, Niki Minaj, a singer I don't particularly like. I also never liked Mrs. Potato Head so what a neat comparison between the two of them.
And finally, what a coincidence with our summer season and this improvised BBQ. Too funny!
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Mashable,
Mrs Potato Head,
Niki Minaj
Friday, July 20, 2012
Thursday, July 19, 2012
Mme Ballon
Si on demande quel genre d’artiste est Jihan “Jihanimo” Zencirli et elle vous répondra une artiste du ballon. Depuis Mai 2011, elle s’est lancée en business pour le plaisir des plus grands et plus petits.
Quand on voit les arrangements ballons de Jihan, on comprendra pourquoi tout le monde rêve d’avoir leur anniversaire quand ces énormes ballons sont dans une pièce. L’esprit est litérallement à la fête!
Quand on pense artiste de ballons, c’est souvent des artistes qui sculptent des animaux à partir de ballons. Dans le cas de Jihan, elle créé ses énormes bouquets avec des ballons Geronimo.
Voyez par vous-mêmes les magnifiques ballons que créent Jihan? En voulez-vous un bouquet, par hasard?
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If you ask what kind of artist is Jihan "Jihanimo" Zencirli and she'll tell you a balloon artist. Since May 2011, she embarked in business for the pleasure of the youngest and oldest.
When we see the arrangements of Jihan’s balloons, one will understand why everyone dreams of having their birthday when these enormous balloons are in a room. The mind is literally at the party!
When you think of artist balloons are often artists who sculpt animals from balloons. In the case of Jihan, she created her huge bouquets of balloons with Geronimo.
See for yourself the beautiful balloons that create Jihan? Do you want a bouquet, by chance?
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Geronimo Balloons,
Jihan Zencirli,
Jihanimo
Wednesday, July 18, 2012
Trésor / Treasure
Quoi de mieux que de se taper quelques heures de magasinage dans un comptoir de linge usages pour celles qui font de la couture et courte-pointes... C'est le genre de sortie annuelle que j'ai fait il y a une semaine.
Je n'avais besoin de rien mais bien sûr, j'ai plusieurs amies qui avaient du matériel à vendre et je voulais encourager leur petites businesses du jour. J'aime bien le tissus "vintage" à l'avant-plan. Si vous avez une suggestion de projet pour ce retaille de tissue, faites-le moi savoir S.V.P.
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What is better than go shopping in a funky little temporary flea market for sewers and quilters... It is the kind of annual outing I've done a week ago.
I didn't need anything but of course, I had many friends who had fabrics to sell and I wanted to be a good patron for them. I really like the vintage fabric in the very front but have no clue what kind of project I should be making with. If you have good suggestions, please don't hesitate to pass those along.
Je n'avais besoin de rien mais bien sûr, j'ai plusieurs amies qui avaient du matériel à vendre et je voulais encourager leur petites businesses du jour. J'aime bien le tissus "vintage" à l'avant-plan. Si vous avez une suggestion de projet pour ce retaille de tissue, faites-le moi savoir S.V.P.
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What is better than go shopping in a funky little temporary flea market for sewers and quilters... It is the kind of annual outing I've done a week ago.
I didn't need anything but of course, I had many friends who had fabrics to sell and I wanted to be a good patron for them. I really like the vintage fabric in the very front but have no clue what kind of project I should be making with. If you have good suggestions, please don't hesitate to pass those along.
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vente
Tuesday, July 17, 2012
Joue-moi! / Play Me!
Depuis 2008, des dizaines de piano sont disponibles pour un temps limité aux joueurs amateurs et professionnels dans les nombreuses rues des plus grandes villes du monde.
Initiallement, "Play Me, I’m Yours" était une commission financé par Fierce Earth de Birmingham, UK, en 2008. Avec 15 pianos comme case de départ, on a estime que plus de 140,000 personnes ont joués sur ces premiers pianos. Depuis ce jour, plus de 5 millions de personnes à travers le monde se sont joins au mouvement.
Chaque ville dispose d'un site fait pour le public de télécharger et de partager leurs films, photos et histoires de leur interaction avec les pianos (Voir LA2012 site Web par exemple). Les sites d'agir comme l'un des legs pour le projet, en fournissant un moyen pour le public à communiquer avec l'autre au niveau local, mais aussi dans une arène internationale, avec des gens de partout dans le monde. Ils aident à relier les différentes communautés, fournir une carte des emplacements de piano et peut être utilisé pour promouvoir des événements. Tout le contenu a été créé et transféré par le public.
Lancé à New York par le maire Bloomberg avec plus de 60 pianos à travers tous les cinq arrondissements de la ville, «Play Me, Je suis à vous» a une portée exceptionnelle comme une pièce majeure de l'art public. Voir la couverture de presse. L'histoire de l'œuvre d'art a été dit par les journalistes du monde entier et nous sommes en discussion avec plus de 20 villes pour présenter le travail en 2012-2013.
"Il n'a pas d'importance si vous êtes un virtuose de classe mondiale comme Beethoven ou un gars qui a pris un an de leçons comme Bloomberg, juste s'asseoir et laissez vos doigts faire parler», Le maire Bloomberg.
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Since 2008, dozens of piano are available for a limited time to players amateurs and professionals in many streets of the largest cities in the world.
Initially, "Play Me, I'm Yours" was a commission funded by Fierce Earth Birmingham, UK, in 2008. Pianos with 15 as the starting box, it was estimated that over 140,000 people have played on these early pianos. Since that day, over 5 million people around the world have join the movement.
Each city has a website made for the public to upload and share their films, photos and stories of their interaction with the pianos (See LA2012 website as example). The websites act as one of the legacies for the project, providing a means for the public to communicate with one another on a local level, but also within an international arena, with people from all over the world. They help to connect the different communities, provide a map of piano locations and can be used to promote events. All content has been created and uploaded by the public.
Launched in New York by Mayor Bloomberg with over 60 pianos across all five boroughs of the city, ‘Play Me, I’m Yours’ has exceptional reach as a major piece of public art. See press coverage. The story of the artwork has been told by journalists around the globe and we are in discussion with over 20 cities to present the work in 2012-2013.
“It doesn’t matter if you’re a world-class virtuoso like Beethoven or a guy who took one year of lessons like Bloomberg, just sit down and let your fingers do the talking,” Mayor Bloomberg.
Initiallement, "Play Me, I’m Yours" était une commission financé par Fierce Earth de Birmingham, UK, en 2008. Avec 15 pianos comme case de départ, on a estime que plus de 140,000 personnes ont joués sur ces premiers pianos. Depuis ce jour, plus de 5 millions de personnes à travers le monde se sont joins au mouvement.
Chaque ville dispose d'un site fait pour le public de télécharger et de partager leurs films, photos et histoires de leur interaction avec les pianos (Voir LA2012 site Web par exemple). Les sites d'agir comme l'un des legs pour le projet, en fournissant un moyen pour le public à communiquer avec l'autre au niveau local, mais aussi dans une arène internationale, avec des gens de partout dans le monde. Ils aident à relier les différentes communautés, fournir une carte des emplacements de piano et peut être utilisé pour promouvoir des événements. Tout le contenu a été créé et transféré par le public.
Lancé à New York par le maire Bloomberg avec plus de 60 pianos à travers tous les cinq arrondissements de la ville, «Play Me, Je suis à vous» a une portée exceptionnelle comme une pièce majeure de l'art public. Voir la couverture de presse. L'histoire de l'œuvre d'art a été dit par les journalistes du monde entier et nous sommes en discussion avec plus de 20 villes pour présenter le travail en 2012-2013.
"Il n'a pas d'importance si vous êtes un virtuose de classe mondiale comme Beethoven ou un gars qui a pris un an de leçons comme Bloomberg, juste s'asseoir et laissez vos doigts faire parler», Le maire Bloomberg.
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Since 2008, dozens of piano are available for a limited time to players amateurs and professionals in many streets of the largest cities in the world.
Initially, "Play Me, I'm Yours" was a commission funded by Fierce Earth Birmingham, UK, in 2008. Pianos with 15 as the starting box, it was estimated that over 140,000 people have played on these early pianos. Since that day, over 5 million people around the world have join the movement.
Each city has a website made for the public to upload and share their films, photos and stories of their interaction with the pianos (See LA2012 website as example). The websites act as one of the legacies for the project, providing a means for the public to communicate with one another on a local level, but also within an international arena, with people from all over the world. They help to connect the different communities, provide a map of piano locations and can be used to promote events. All content has been created and uploaded by the public.
Launched in New York by Mayor Bloomberg with over 60 pianos across all five boroughs of the city, ‘Play Me, I’m Yours’ has exceptional reach as a major piece of public art. See press coverage. The story of the artwork has been told by journalists around the globe and we are in discussion with over 20 cities to present the work in 2012-2013.
“It doesn’t matter if you’re a world-class virtuoso like Beethoven or a guy who took one year of lessons like Bloomberg, just sit down and let your fingers do the talking,” Mayor Bloomberg.
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Monday, July 16, 2012
Heidi Swanson
En ce lundi matin, je vous présente une autre femme d'affaires prospère. Heidi Swanson excelle dans le monde de la cuisine et sa twist: Rendre les aliments ensemble sexy et un équilibre, une éducation, et nourrir l'existence pendant qu’on cherche le possible.
Sa trajectoire: tout en étudiant l'art à l'Université de Californie, San Diego, Swanson a découvert le laboratoire de vision par ordinateur, où elle a appris la conception Web au début. Durant les années 1990 dot-com frénésie, elle a commencé à ChickClick, un site progressiste pour les adolescentes. «Quand mon entreprise mère est devenue publique, j'ai eu un peu d'argent. J'aurais pu mettre un acompte sur une maison, mais j'ai réalisé que je dois travailler dans un environnement plus sûr. Au lieu de cela, je renflouées sur tout et partit avec l'idée que je voulais la latitude que travailler pour moi-même offrir », dit-elle.
Juste milieu: Alors que la pige, Swanson a décidé qu'elle aimerait réellement faire cuire de tous les livres de cuisine qui a été la collecte de la poussière au cours de ses vingt ans. Le blog est né. Son troisième livre, Super Natural Chaque jour, sort ce printemps.
Sur Être un Hit: "Le mois dernier, j'ai eu 3 millions de pages vues. Mais le plus important pour moi est que toute une gamme de personnes cuisinent à mes recettes. Les adolescents m'écrire avec enthousiasme d'apprendre à cuisiner, tout comme les personnes âgées dont les médecins leur ont conseillé de régler leur régime alimentaire. Je pense que mon blog leur donne le sentiment de cuisson peut être amusant et délicieux, plutôt que négative ou une corvée."
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On this early Monday morning, I am featuring another successful businesswoman. Heidi Swanson excels in the world of cuisine and her twist: Making whole food sexy and a balanced, nurturing, and nurtured existence look feasible.
Her Trajectory: while studying art at the University of California, San Diego, Swanson discovered the computer visualization lab, where she learned early Web design. During the 1990s dot-com frenzy, she started ChickClick, a progressive site for teen girls. “When my parent company went public, I got a little bit of money. I could have put a down payment on a house, but I realized I’d have to work in a more secure environment. Instead, I bailed on everything and went with the idea that I wanted the latitude that working for myself would offer,” she says.
Happy Medium: While freelancing, Swanson decided she’d like to actually cook from all the cookbooks that has been gathering dust during her twenties. The blog was born. Her third cookbook, Super Natural Every Day, comes out this Spring.
On Being a Hit: “Last month, I got 3 million page views. But more important to me is that a range of people are cooking my recipes. Teenagers will write me enthusiastically about learning to cook, as will older people whose doctors advised them to adjust their diets. I think my blog makes them feel cooking can be fun and delicious, rather than negative or a chore.”
Sa trajectoire: tout en étudiant l'art à l'Université de Californie, San Diego, Swanson a découvert le laboratoire de vision par ordinateur, où elle a appris la conception Web au début. Durant les années 1990 dot-com frénésie, elle a commencé à ChickClick, un site progressiste pour les adolescentes. «Quand mon entreprise mère est devenue publique, j'ai eu un peu d'argent. J'aurais pu mettre un acompte sur une maison, mais j'ai réalisé que je dois travailler dans un environnement plus sûr. Au lieu de cela, je renflouées sur tout et partit avec l'idée que je voulais la latitude que travailler pour moi-même offrir », dit-elle.
Juste milieu: Alors que la pige, Swanson a décidé qu'elle aimerait réellement faire cuire de tous les livres de cuisine qui a été la collecte de la poussière au cours de ses vingt ans. Le blog est né. Son troisième livre, Super Natural Chaque jour, sort ce printemps.
Sur Être un Hit: "Le mois dernier, j'ai eu 3 millions de pages vues. Mais le plus important pour moi est que toute une gamme de personnes cuisinent à mes recettes. Les adolescents m'écrire avec enthousiasme d'apprendre à cuisiner, tout comme les personnes âgées dont les médecins leur ont conseillé de régler leur régime alimentaire. Je pense que mon blog leur donne le sentiment de cuisson peut être amusant et délicieux, plutôt que négative ou une corvée."
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On this early Monday morning, I am featuring another successful businesswoman. Heidi Swanson excels in the world of cuisine and her twist: Making whole food sexy and a balanced, nurturing, and nurtured existence look feasible.
Her Trajectory: while studying art at the University of California, San Diego, Swanson discovered the computer visualization lab, where she learned early Web design. During the 1990s dot-com frenzy, she started ChickClick, a progressive site for teen girls. “When my parent company went public, I got a little bit of money. I could have put a down payment on a house, but I realized I’d have to work in a more secure environment. Instead, I bailed on everything and went with the idea that I wanted the latitude that working for myself would offer,” she says.
Happy Medium: While freelancing, Swanson decided she’d like to actually cook from all the cookbooks that has been gathering dust during her twenties. The blog was born. Her third cookbook, Super Natural Every Day, comes out this Spring.
On Being a Hit: “Last month, I got 3 million page views. But more important to me is that a range of people are cooking my recipes. Teenagers will write me enthusiastically about learning to cook, as will older people whose doctors advised them to adjust their diets. I think my blog makes them feel cooking can be fun and delicious, rather than negative or a chore.”
Sunday, July 15, 2012
Emotional Equations
Les mathématiques peuvent etre utilises brillamment par le simple fait d'explorer et d'articuler la seule chose qui interpelle et nous relie tous - nos émotions - Equations émotionnels nous emmène de l'intelligence émotionnelle à la maîtrise émotionnelle, offrant une nouvelle façon de gérer notre monde intérieur.
L'auteur, Chip Conley, PDG de Joie de Vivre Hospitality, décrit la façon dont notre monde est rempli d'émotions différentes et ces émotions sont tous égaux quelque puissance de l'addition / multiplication / division ou une soustraction.
Voici un exemple à méditer sur la:
Anxiété = incertitude x Impuissance
L'anxiété a un effet domino assez fort. Lorsque l'anxiété frappe, créer un bilan de ce que vous savez et ce qui est au sein de votre influence. Tout d'abord, élucider le sens du mystère de ce que vous ne connaissez pas. L'anxiété se cache dans l'obscurité, doit-elle briller une lampe de poche sur ce que c'est que ce qui vous dérange. Est-ce la situation aussi incertaine que vous pensez que c'est? Êtes-vous surestimer le danger associé à ce mystère ou l'importance de l'événement? Puis déterminer si vous êtes vraiment mal équipés pour répondre à l'expérience. Si vous êtes, quelles sont les ressources pouvez-vous exploiter pour aider à vous sentir un peu plus puissant?
Son livre est rempli de formules différentes qui fonctionnaient bien pour son entreprise. Il a gracieusement décidé de partager ses équations multiples avec ses lecteurs et il espère qu'elle aidera les entrepreneurs à passer au niveau suivant.
Bien que le livre est un peu technique, je vous recommande vivement ce livre à tous ceux qui aiment les mathématiques et voir sa relation avec les entreprises et la société.
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Using brilliantly simple math to explore and articulate the one thing that challenges and connects us all – our emotions – Emotional Equations takes us from emotional intelligence to emotional fluency, offering a new way to manage our internal world.
The author, Chip Conley, CEO of Joie de Vivre Hospitality, describes how our world is filled with different emotions and those emotions are all equal some power of addition/multiplication/division or subtraction.
Here is an example to ponder upon to:
Anxiety = uncertainty x Powerlessness
Anxiety has a strong domino effect. When anxiety strikes, create a balance sheet of what you know and what is within your influence. First, unravel the sense of mystery about what you don’t know. Anxiety lurks in the dark, so shine a flashlight on what it is that’s disturbing you. Is this situation as uncertain as you think it is? Are you overestimating the danger associated with this mystery or the importance of the event? Then explore whether you are truly ill equipped to address the experience. If you are, what resources can you tap into to help you feel a little more powerful?
His book is filled with different formulas that worked out fine for his company. He is graciously sharing his multiple equations with his readers and he hopes it will help entrepreneurs to get to the next level.
Although the book is a tad technical, I highly recommend this book to anyone who love math and see its relationship with business and corporation.
Saturday, July 14, 2012
Code secret / Secret Code
Que feriez-vous si un pur étranger, pire, un étranger sans-abri, vous donne une note (voir première photo ci-dessous) avec un billet de 50 $ et un morceau de papier vous demandant de trouver un indice?
Un geek a eu cette expérience étrange.
"Je suis tombé sur un homme habillé en haillons nous sommes arrivés face a face et il me lança un sourire rapide. I [la pensée] rien de celui-ci jusqu'à ce qu'il entrât pour descendre à la 14ème rue et il m'a remis un billet de 50 $ avec une note. Avant même que je puisse ouvrir la bouche pour lui poser une question, il était parti, «le bénéficiaire écrit dans le message. "J'ai été la recherche à la note toute la journée, et inutile de dire, je n'ai aucune idée de ce que cela signifie. C'est à la main sur un morceau de papier carré 3X3 avec aucune marque d'identification et aucun des filigranes. Il ya une grille dessinée à la main et à quelques taches d'un couple, les cellules de la grille sont combinées. La note a du caractère aléatoire tout au long de l'écrit et le quart inférieur est rempli de formes et de chiffres aléatoires."
Dans les trois heures, le forum avait Redditors identifié certains des personnages ont été écrits en russe, le basque et l'hébreu. Plus précisément, l'utilisateur SirSpam28 déterminé que la note de référence de son propre cryptage, et que la "clé" est ce qu'on appelle un Cipher bifide - un algorithme de tour-de-la-siècle qui permettrait de décoder le message secret.
SirSpam28 (avec une poignée d'autres cryptologues) a utilisé l'algorithme de chiffrement pour déchiffrer le texte:
Il y a beaucoup plus d'argent à faire.
Figure cela et prepare-toi à se rencontrer le 19 Juillet entre la 56ème et 6ème.
Il y a un stand à hot dog en dehors du café Rue 57. Demandez pour l'entrée de M..
Si vous êtes super peureux par la présente, vous n'êtes pas seul. Les nombreux Redditors dans le fil sont spéculer. C'est peut-être une sorte de entretien d'embauche. Peut-être un jeu d'espionnage du gouvernement. Peut-être que c'est juste un homme étrange de jouer des tours aux usagers du métro sans méfiance.
Ou peut-être la plaisanterie sera sur nous pour l'ensemble d'Internet se présente à la semaine prochaine 56e et 6e à trouver tout cela était un régime de marketing très élaboré. L'avenir nous dira tout ...
--------------------------------------
What would you do if a pure stranger, worst, a homeless-looking stranger, gave you a note (see first photo below) with a $50 bill and a piece of paper asking you to find a clue?
A geek had this strange experience happened to him/her.
“I bumped into a raggedy dressed man as we got on and he shot me a quick smile. I [thought] nothing of it until he went to get off at 14th street and he handed me a $50 bill along with a note. Before I could even open my mouth to ask him a question, he was gone,” the recipient writes in the post. “I’ve been looking at the note all day, and needless to say, I have no idea what it means. It’s handwritten on a 3X3 square piece of paper with no identifying marks and no watermarks. There’s a hand-drawn grid and at a couple spots, the cells of the grid are combined. The note has random character written throughout it and the bottom quarter is filled with random shapes and numbers.”
Within three hours, Redditors forum had identified some of the characters were written in Russian, Basque and Hebrew. Specifically, user SirSpam28 determined that the note referenced its own encryption, and that the “key” is something called a Bifid Cipher — a turn-of-the-century algorithm that would decode the secret message.
SirSpam28 (along with a handful of other armchair cryptologists) used the cipher to crack the text:
There’s plenty more money to make.
Figure this out and prepare to meet July 19th, 56th & 6th.
There’s a hot dog stand outside Rue57 cafe. Ask for Mr. Input.
If you’re super creeped out by this, you’re not alone. Many Redditors in the thread are speculating. Perhaps it’s some sort of job interview. Perhaps a government spy game. Maybe it’s just a strange man playing tricks on unsuspecting subway riders.
Or maybe the joke will be on us when the entire Internet shows up at 56th and 6th next week to find it was all an elaborate marketing scheme. The future will tell it all…
Un geek a eu cette expérience étrange.
"Je suis tombé sur un homme habillé en haillons nous sommes arrivés face a face et il me lança un sourire rapide. I [la pensée] rien de celui-ci jusqu'à ce qu'il entrât pour descendre à la 14ème rue et il m'a remis un billet de 50 $ avec une note. Avant même que je puisse ouvrir la bouche pour lui poser une question, il était parti, «le bénéficiaire écrit dans le message. "J'ai été la recherche à la note toute la journée, et inutile de dire, je n'ai aucune idée de ce que cela signifie. C'est à la main sur un morceau de papier carré 3X3 avec aucune marque d'identification et aucun des filigranes. Il ya une grille dessinée à la main et à quelques taches d'un couple, les cellules de la grille sont combinées. La note a du caractère aléatoire tout au long de l'écrit et le quart inférieur est rempli de formes et de chiffres aléatoires."
Dans les trois heures, le forum avait Redditors identifié certains des personnages ont été écrits en russe, le basque et l'hébreu. Plus précisément, l'utilisateur SirSpam28 déterminé que la note de référence de son propre cryptage, et que la "clé" est ce qu'on appelle un Cipher bifide - un algorithme de tour-de-la-siècle qui permettrait de décoder le message secret.
SirSpam28 (avec une poignée d'autres cryptologues) a utilisé l'algorithme de chiffrement pour déchiffrer le texte:
Il y a beaucoup plus d'argent à faire.
Figure cela et prepare-toi à se rencontrer le 19 Juillet entre la 56ème et 6ème.
Il y a un stand à hot dog en dehors du café Rue 57. Demandez pour l'entrée de M..
Si vous êtes super peureux par la présente, vous n'êtes pas seul. Les nombreux Redditors dans le fil sont spéculer. C'est peut-être une sorte de entretien d'embauche. Peut-être un jeu d'espionnage du gouvernement. Peut-être que c'est juste un homme étrange de jouer des tours aux usagers du métro sans méfiance.
Ou peut-être la plaisanterie sera sur nous pour l'ensemble d'Internet se présente à la semaine prochaine 56e et 6e à trouver tout cela était un régime de marketing très élaboré. L'avenir nous dira tout ...
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What would you do if a pure stranger, worst, a homeless-looking stranger, gave you a note (see first photo below) with a $50 bill and a piece of paper asking you to find a clue?
A geek had this strange experience happened to him/her.
“I bumped into a raggedy dressed man as we got on and he shot me a quick smile. I [thought] nothing of it until he went to get off at 14th street and he handed me a $50 bill along with a note. Before I could even open my mouth to ask him a question, he was gone,” the recipient writes in the post. “I’ve been looking at the note all day, and needless to say, I have no idea what it means. It’s handwritten on a 3X3 square piece of paper with no identifying marks and no watermarks. There’s a hand-drawn grid and at a couple spots, the cells of the grid are combined. The note has random character written throughout it and the bottom quarter is filled with random shapes and numbers.”
Within three hours, Redditors forum had identified some of the characters were written in Russian, Basque and Hebrew. Specifically, user SirSpam28 determined that the note referenced its own encryption, and that the “key” is something called a Bifid Cipher — a turn-of-the-century algorithm that would decode the secret message.
SirSpam28 (along with a handful of other armchair cryptologists) used the cipher to crack the text:
There’s plenty more money to make.
Figure this out and prepare to meet July 19th, 56th & 6th.
There’s a hot dog stand outside Rue57 cafe. Ask for Mr. Input.
If you’re super creeped out by this, you’re not alone. Many Redditors in the thread are speculating. Perhaps it’s some sort of job interview. Perhaps a government spy game. Maybe it’s just a strange man playing tricks on unsuspecting subway riders.
Or maybe the joke will be on us when the entire Internet shows up at 56th and 6th next week to find it was all an elaborate marketing scheme. The future will tell it all…
Friday, July 13, 2012
Thursday, July 12, 2012
Beth Shady
Comme il semble le faire pour de nombreux artistes, l'inspiration a frappé Beth Shady soudainement et fortement. Un peu moins d'il y a une décennie, elle est tombée sur un article de magazine sur les algues. Déjà une talentueuse artiste de fleur seches, Shady a décidé de donner l'alternative océanique un coup.
Shady a développé cet intérêt dans une entreprise, et est maintenant la propriétaire de SeaweedArt, à travers lequel elle fait des cartes de vœux avec pressages algues et les vend partout au pays. Résidente de Santa Cruz, la région de Pleasure Point est son premier "studio", où elle recueille des algues, qu’elle sèche et organise sur le papier pour former ses cartes.
Shady a été en mesure d'utiliser sa propre marque distincte de l'art de transmettre son amour pour la nature et l'importance qu'elle accorde à essayer de la conserver. "Ce qui est pour moi, c'était, je ne peux pas peindre, je ne peux pas dessiner, mais je ne peux prendre les différentes couleurs et textures et de tailles et variétés d'algues et de les mettre sur le papier et arriver à ce travail incroyablement unique et abstraite de la l'art,” dit Shady.
Même si elle n'a pas d'expérience dans des milieux d'art, Shady a toujours été une personne créative. Elle possède une expérience dans les arts de la scène et a travaillé comme designer de mode à New York avant de déménager à Santa Cruz. Shady presse des fleurs pour le plaisir comme une enfant, et se tourna vers cette pratique dans une entreprise en 2003.
Shady vend ses cartes de vœux en ligne et dans plusieurs magasins dans et autour de Santa Cruz, y compris au centre-ville a la Galerie des artisans et la boutique de découverte des océans au Centre Découverte Seymour. Shady soutient la préservation des océans et fait un don de 10 pour cent de ses profits à une organisation différente dédié à cette cause tous les mois. "Je pense que le plus grand message que je veux envoyer est que nous avons à nettoyer nos océans", a déclaré Shady. "Nous avons d'arrêter de mettre les mégots de cigarettes dans la rue et l'utilisation de pesticides qui sont l'érosion de l'océan."
Adhère aux lignes directrices lors de la prise de ses algues, veillant à ne pas prendre plus que les 10 livres par jour et de rester loin de certains types d'algues tel que recommandé par le National Marine Fisheries Service.
Après être allé à Pleasure Point de recueillir un lot à marée basse, elle retourne à son studio de SC réelle, lave les algues avec de l'eau fraîche, puis le met dans un évier à trier. Elle prend alors les algues dans un autre puits, dans lequel elle met le papier chiffon de coton qu'elle utilise pour les cartes. Elle met un plateau spécial que son mari la construit sous le papier, définit le papier sous les algues, et soulève rapidement le plateau afin que le papier peut capturer les algues en mouvement. Elle organise la conception de l'algue à son goût, couvre le papier avec une étamine et du papier buvard et la met dans sa presse. Elle met ensuite le travail en face d'un ventilateur à sec, ce qui prend deux à trois semaines.
Le résultat est dynamique, fluide de travail qui affiche les algues, qui peuvent aller du plus profond de violets à la jaunisse au blues, comme si elle se balançaient dans le vent dans son environnement naturel. Le processus d'algues appuyant prend beaucoup de temps, mais ce n'est pas tout Shady fait pour son entreprise. Elle utilise également son maître dans le marketing Internet et ses compétences de blogs pour obtenir le mot au sujet de ses produits. Elle a mis en place un programme d'affiliation avec d'autres sur le Web, de l'océan organisations axées sur un lien vers ses produits.
Son mari, Bill, qui a utilisé son expertise en tant que ingénieur en mécanique pour construire les presses de son epouse, s'émerveille de la capacité de sa femme de rester cohérent avec son travail d'équilibrage tout en engagements d'autres. «À une période de temps, elle devenait sa maîtrise ... tout en essayant d'élever une famille avec cinq enfants et pendant tout ce temps, elle n'arrêtait pas coller avec l'art," le projet de loi Shady dit.
Bien que Shady travaille dur pour faire son travail artistique, l'inspiration créatrice qui frappe peut faire ses représentations de l'environnement semblent sans effort. Shady donne du crédit à la nature pour lui fournir abondamment avec de la beauté de travailler avec, et parfois, elle surprend même elle-même avec la qualité de son travail. «J'avais l'habitude d'avoir ce même sentiment quand je mettrais des fleurs sur une bouteille," Shady dit. “Je voudrais obtenir différents types d'herbes et d'utiliser les herbes que les branches de la fleur et de penser,” Wow, je ne peux pas croire ce que j'ai fait,” et, parfois, c'est la façon dont l'inspiration est. Il seulement sortes de vient à vous, il coule à travers vous sans vous vraiment même avoir à y penser ce que vous faites.”
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Shady adheres to sustainable guidelines when picking her seaweed, making sure not to pick more than the 10 pounds a day and staying away from certain types of seaweed as recommended by the National Marine Fisheries Service.
After going to Pleasure Point to collect a batch at low tide, she returns to her actual SC studio, washes the seaweed with fresh water, then puts it in a sink to sort through. She then takes the seaweed into another sink, into which she puts the cotton rag paper she uses for the cards. She puts a special tray that her husband built her under the paper, sets the paper under the seaweed, and quickly lifts up the tray so the paper can capture the seaweed in motion. She arranges the design of the seaweed to her liking, covers the paper with cheesecloth and blotting paper and puts it in her press. She then puts the work in front of a fan to dry, which takes two to three weeks.
The result is vibrant, fluid work that displays the seaweed, which range from deep purples to yellows to blues, as if it were swaying in the wind in its natural environment. The seaweed pressing process is time-consuming, but it’s not all Shady does for her business. She also uses her master’s in Internet marketing and her blogging skills to get the word out about her products. She has set up an affiliate program with other Web-based, ocean-focused organizations to link to her products.
Her husband Bill, who used his expertise as a mechanical engineer to build Shady her press, marvels at his wife’s ability to stay consistent with her work while balancing other commitments. “At a period of time she was getting her master’s degree… while trying to raise a household with five kids and during that whole time she just kept sticking with art,” Bill Shady said.
Though Shady works hard to make her artwork, the creative inspiration that hits can make her portrayals of the environment seem effortless. Shady gives credit to nature for providing her with plenty of beauty to work with, and at times, she surprises even herself with the quality of her work. “I used to have that same feeling when I would put flowers on a bottle,” Shady said. “I would get different types of herbs and use the herbs as the branches of the flower and think, ‘Wow, I can’t believe I did that,’ and sometimes that’s the way inspiration is. It just sorts of comes to you, it flows through you without you really even having to think about what you’re doing.”
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Beth Shady,
Santa Cruz,
Seaweed Art
Wednesday, July 11, 2012
Cinq façons inattendues avec un sèche-cheveux ... / Five unexpected ways with… a hair dryer
1 - Détachez une photo d'un album. Pour travailler une photographie délicate hors de ces pages collantes, souffler de l'air chaud sur le dos de la page tout en tirant doucement sur la photo.
2 - La poussière dur-à-atteindre des endroits. Régler le sécheur sur air frais et dirigez-la vers étagères poussiéreuses ou complexes bibelots pour faire sauter les débris juste à côté.
3 – Enlever les rides des rideaux de douche en plastique. Souffler de l'air chaud sur les rideaux - juste garder le séchoir 12 pouces de la surface de sorte qu'il ne fondra pas.
4 – Pour avoir le glaçage parfait. Pour durcir le glaçage sur des gâteaux ou des biscuits, souffler de l'air frais directement sur elle. Pour égayer un fini mat, donner un coup d'air chaud au glacage.
5 - Effacer les marques de crayon ou de déversements de cire. Enfants devenus terribles? Séchez la tache en haut jusqu'à ce que la cire fond, puis essuyez avec une éponge savonneuse.
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1- Detach a photo from an album. To work a delicate photograph off one of those sticky pages, blow warm air onto the back of the page while gently tugging the photo free.
2- Dust tough-to-reach places. Set the dryer on cool and point it at dusty shelves or intricate knick-knacks to blow the debris right off.
3- Dewinkle plastic shower curtains or tablecloths. Blow hot air onto fresh-out-of-bag material to “iron” out wrinkles – just keep the dryer 12 inches from the surface so it won’t melt.
4- Perfect frosting or icing. To harden frosting on cakes or cookies, blow cool air directly on it. To brighten a dull finish, give the icing a hit of hot air.
5- Erase crayon marks or wax spills. Kids gone wild? Blow-dry the stain on high until the wax melts, then wipe with a soapy sponge.
2 - La poussière dur-à-atteindre des endroits. Régler le sécheur sur air frais et dirigez-la vers étagères poussiéreuses ou complexes bibelots pour faire sauter les débris juste à côté.
3 – Enlever les rides des rideaux de douche en plastique. Souffler de l'air chaud sur les rideaux - juste garder le séchoir 12 pouces de la surface de sorte qu'il ne fondra pas.
4 – Pour avoir le glaçage parfait. Pour durcir le glaçage sur des gâteaux ou des biscuits, souffler de l'air frais directement sur elle. Pour égayer un fini mat, donner un coup d'air chaud au glacage.
5 - Effacer les marques de crayon ou de déversements de cire. Enfants devenus terribles? Séchez la tache en haut jusqu'à ce que la cire fond, puis essuyez avec une éponge savonneuse.
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1- Detach a photo from an album. To work a delicate photograph off one of those sticky pages, blow warm air onto the back of the page while gently tugging the photo free.
2- Dust tough-to-reach places. Set the dryer on cool and point it at dusty shelves or intricate knick-knacks to blow the debris right off.
3- Dewinkle plastic shower curtains or tablecloths. Blow hot air onto fresh-out-of-bag material to “iron” out wrinkles – just keep the dryer 12 inches from the surface so it won’t melt.
4- Perfect frosting or icing. To harden frosting on cakes or cookies, blow cool air directly on it. To brighten a dull finish, give the icing a hit of hot air.
5- Erase crayon marks or wax spills. Kids gone wild? Blow-dry the stain on high until the wax melts, then wipe with a soapy sponge.
Tuesday, July 10, 2012
La fin du placard / Placard's ending
Après plus de 6 mois avec comme privilège de se stationner près des magasins, voilà qu'hier était ma dernière journée pour profiter de mon placard d'handicapé.
À partir d'aujourd'hui, je dois me stationner plus loin, comme les autres, car je n'ai plus droit au placard. J'aurais quand même eue plusieurs mois pour profiter de cet avantage. Malgré tout, je préfère à ne pas utiliser le placard et avoir deux bonnes jambes en santé.
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After more than 6 months to park near the stores' doors, yesterday was officially my last day to enjoy my handicap placard.
Starting today, I have to park farther, like the others, because the placard expired yesterday. I was able to enjoy many good months with that advantage. Despite all, I rather not use a placard and have two healthy legs.
À partir d'aujourd'hui, je dois me stationner plus loin, comme les autres, car je n'ai plus droit au placard. J'aurais quand même eue plusieurs mois pour profiter de cet avantage. Malgré tout, je préfère à ne pas utiliser le placard et avoir deux bonnes jambes en santé.
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After more than 6 months to park near the stores' doors, yesterday was officially my last day to enjoy my handicap placard.
Starting today, I have to park farther, like the others, because the placard expired yesterday. I was able to enjoy many good months with that advantage. Despite all, I rather not use a placard and have two healthy legs.
Monday, July 9, 2012
Susan Slusser
C'est au début du printemps et le désert Arizonien commence à se remplir avec des joueurs de baseball, les reporters de battement, les rumeurs, et grondements. Notre succès d'affaires de la Silicon Valley d'aujourd'hui est de jouer dur avec certains joueurs assez cool. Susan Slusser est ma femme en vedette ce matin et elle est un fier membre de l'équipe de l'équipe de baseball A’s d’Oakland.
Haut dans cette dernière catégorie est la spéculation croissante que l'Oakland sont sur le point de signer Manny Ramirez, le frappeur de puissance disgracié qui-quand il était vêtu d'un uniforme Red Sox de Boston - a été l'un des frappeurs les plus redoutés de notre ère. C'est un geste étrange: une équipe à petit budget qui échangeait beaucoup de leurs joueurs clés dans la morte-saison faire un gros jeu pour une superstar ancien, celui qui a deux fois été contrôlé positif à des produits dopants et brusquement pris sa retraite en 2011.
Le déménagement des A’s a besoin d'être expliqué et analysé. Ce qui signifie que Susan Slusser expertise est requise. Son téléphone sonne sans cesse - ESPN, Sports Comcast Net, les stations de radio à travers le pays - tous les demandant sa perspicacité. Ses messages Twitter et des mises à jour de blog sont Slusser lecture obligatoire est invité à analyser, la sonde, et de clarifier la signature Ramirez.
Pour les 13 dernières années, Slusser a été d'aller à la source de nouvelles que ce soit concernant l'Oakland A. Depuis 1999, elle a couvert l'équipe pour le San Francisco Chronicle, en commençant par les équipes de la A de séries éliminatoires étoiles chargés, par le biais de l'ère Moneyball, dans leurs benthiques ans, à la saison actuelle de faibles attentes et des signatures énigmatiques.
Cette année, l'autorité Slusser va s'étendre au-delà du terrain de baseball. L'hiver dernier, elle a été élue vice-présidente de la Writers Baseball Association of America (BBWAA), ce qui signifie que cette Octobre, elle deviendra la première femme présidente de l'organizatin qui a été fondée en 1908.
"J'aime l'organisation," a déclaré Slusser. "Écrivains de base-ball est un travail difficile. Vous passez huit mois par an loin de votre famille et d'avoir de longues journées et beaucoup de voyages. Tout ce qui aide les écrivains de baseball est quelque chose que je veux faire partie."
La passion de Slusser pour son travail est difficile à manquer. Bien que certains y voient l'un. C'est comme l'une des équipes les moins visibles du baseball, Slusser voit l'équipe comme une mine verte-amd-or d'histoires et de personnalités dont Ramirez est le tout dernier.
Ils forment une équipe très intéressante pour couvrir, “ dit-elle. "Écrire sur Manny va être un grand projet."
Cela Slusser est impliqué avec des surprises de baseball absolument personne qui la connaissait à Stevenson.
Mais si l'auto Slusser de l'école secondaire avait eu sa wayt, elle serait impliquée avec les nouvelles Beaucoup Ramirez d'une manière différente.
Son objectif comme indiqué dans son annuaire Stevenson, était "de posséder les Boston Red Sox." Si cette prédiction se réalisait, elle aurait été la Ramire commercial d'une certaine origine loin de la Red Sox, en commençant son mandat de quatre ans odyssée qui a apporté lui à Oakland cette sprinh.
“C'était mon ambition”, dit Slusser de ses rêves de propriété. “À l'époque, ils vendaient pour seulement $10 ou $12 millions.”
Les temps ont changé dans le baseball. Les Red Sox valent maintenant 617 millions de dollars. Nd Ssser a changé avec eux, de s'adapter aux évolution des modes de journalisme tout en continuant à dominer son rythme.
Loin de l'occupation romantique que les fans d'envisager, un travail de base-ball qui mâche des écrivains et les recrache. Le voyage est implacable, le rythme impitoyable. La saison commence avec 7 AM réveil appels à la mi-Février et se termine avec des délais de minuit n novembre, suivie par un mois de nouvelles poêle chaud en Décembre et une Janvier de signatures des joueurs. Il ya à peine un jour de congé dans l'année civile.
Mais le baseball n'a pas usé Slusser. Au contraire, elle se nourrit de la routine quotidienne et de la concurrence.
“J’aime bien,” dit-elle. "Baseball s’écrit par lui-même. Parfois, le voyage me porte vers le bas et l'Internet a rendu la tâche plus difficile, mais j'ai vraiment adoré couvrant de baseball."
L’amour qu’a Slusser pour le match a été perfectionné dans l'enfance. Son père Richard était un officier de marine, et quand la famille vivait à Guam, très sportif petits était disponible, mais Susan se souvient des scores en lecture de baseball.
La famille a déménagé à Alameda, en 1972, lorsque les A’s étaient à leur apogée, son père lui a appris la nuance du jeu. Dans les quatre ans que Richard et Joyce Slusser et leur jeune fille a vécu à Alameda, l'équipe de baseball ville natale a remporté trois Setries monde, la création d'un ventilateur pour la vie chez les jeunes Susan. Mais le propriétaire de Charlie Finley rompu son équipe dominante, de vendre les pièces. Et quand les Red Sox a frappé au large de la Une est dans la série American League Championship en 1975, de 10 ans Susan -. Comme n'importe quel train en marche normale de recherche de l'enfant - mis ses allégeances à l'équipe gagnante.
En 1976, les Slussers déménagé à Pebble Beach. Au Stevenson, qui n'avait pas été co-ed pour longtemps avant son arrivée, Slusser savouré la pratique de sports, basket-ball, le softball, le volley-ball, et un passage de l'équipe garçon de crosse. Elle a également travaillé à la station de radio de l'école KSP, la diffusion de l'Spurs Salinas jeux et l'école des matches de football. Elle a travaillé à la Tusitala, le journal de l'école. Elle était une étudiante avec seulement des “A”.
“Stevenson avait beaucoup à offrir et je voulais profiter de tous les avantages”, dit-elle. “Je pense que mes cours à Stevenson étaient plus durs que ceux que j'ai eu plus tard à Stanford.”
Slusser a excellée dans les voies universitaires, mais elle a aussi gardé son amour du baseball à la fine pointe. Kerner se souvient de son ami d'amerrissage forcé une histoire définitive d'aller à un A / Red Sox jeu, sachant très bien qu'elle serait probablement pris. Même si elle a été marquée vers le bas pour la finale, Slusser encore tiré un A dans la classe.
Après avoir été diplômée de Stevenson et un an au pensionnat en Angleterre, Slusser s’inscrit à l'Université Stanford. Elle double majeure en histoire et en anglais, a travaillé à la Stanford Daily, et de base-ball diffusés sur la station de radio scolaire. Elle a également joué des stages de crosse et a travaillé à des médias locaux, y compris KCBS, les kilopixel et le Sacramento Bee. À un moment donné son professeur de français l’a disputé pour l'emballage tant dans son horaire.
Son habileté de jonglage est plus important que jamais aujourd'hui dans le monde changeant des médias. S; l'utilisateur devrait au blog, tweet, écrire pour le web, faire des échéances de journaux, et d'être une radio d'une personnalité de la télévision. Elle est également un fervent amateur de hockey.
En 1999, Slusser a été embauché par le San Francisco Chronique de couvrir les A’s. Enfin, elle s’est installée dans la même zone et elle s'est mariée en novembre 1999.
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It’s early Spring and the Arizona desert is starting to fill up with baseball players, beat reporters, rumors, and rumblings. Our successful Silicon Valley Businesswoman of today is playing hard with some pretty cool players. Susan Slusser is my featured woman this morning and she is a proud member of the Oakland A’s team.
High in the latter category is the growing speculation that the Oakland A’s are about to sign Manny Ramirez, the disgraced slugger who –when he was wearing a Boston Red Sox uniform – was one of the most feared hitters of our era. It’s an odd move: a low-budget team that traded many of their key players in the off-season making a big play for a former superstar, one who has twice tested positive for performance-enhancing drugs and abruptly retired in 2011.
The A’s move needs to be explained and analyzed. Which means Susan Slusser expertise is required. Her phone rings constantly – ESPN, Comcast Sports Net, radio stations across the country – all requesting her insight. Her Twitter posts and blog updates are mandatory reading Slusser is asked to parse, probe, and clarify the Ramirez signing.
For the past 13 years, Slusser has been to go to source for any and all news about the Oakland A’s. Since 1999, she has covered the team for the San Francisco Chronicle, starting with the A’s star-laden playoff teams, through the Moneyball era, into their bottom-dwelling years, to the current season of low expectations and puzzling signings.
This year, Slusser’s authority will expand beyond the baseball field. Last winter she was elected vice president of the Baseball Writers Association of America (BBWAA), which means that this October she will become the first woman president of the organizatin which was founded in 1908.
“I love the organization,” Slusser said. “Baseball writers have a hard job. You spend eight months a year away from your family and have long days and lots of travel. Anything that helps baseball writers is something I want to be part of.”
Slusser’s passion for her job is hard to miss. Though some see the A’s as one of baseball’s less visible teams, Slusser sees the team as a green-amd-gold mine of stories and personalities of which Ramirez is just the latest.
They’re a very interesting team to cover,” she says. “Manny’s gong to be great to write about.”
That Slusser is involved with baseball surprises absolutely no one who knew her at Stevenson.
But if Slusser’s high school self had had her wayt, she would be involved with the Many Ramirez news in a different way.
Her goal as listed in her Stevenson yearbook, was “to own the Boston Red Sox.” If that prediction had come true, she would have been the one originally trading Ramire away from the Red Sox, beginning his four-year odyssey that has brought him to Oakland this sprinh.
“That was my ambition,” Slusser says of her ownership dreams. “Back then they were selling for only $10 or $12 million.”
Times have changed in baseball. The Red Sox are now worth $617 million. Nd Ssser has changed along with them, adapting to the changing ways of journalism while continuing to dominate her beat.
Full disclosure I’ve see a friend of Susan’s for more than two decades and watched her evolve from a young reporter into arguably the most thorough and competent beat writer in baseball. Far from the romantic occupation that fans envision, baseball a job that chews of writers and spits them out. The travel is relentless, the pace unforgiving. The season begins with 7 AM wake-up calls in mid-February and ends with midnight deadlines n November, followed by a month of hot-stove news in December and a January of player signings. There’s barely a day off in the calendar year.
But baseball hasn’t worn down Slusser. To the contrary she thrives on the daily routine and competition.
“I love it.” Se says. “Baseball writes itself . Sometimes the travel wears me down and the Internet has made the job more difficult, but I absolutely love covering baseball.”
Slusser’s love of the game was honed in childhood. Her father Richard was a naval officer, and when the family was living in Guam, very little sports was available, bu Susan remembers reading baseball scores.
The family moved to Alameda in 1972 when the A’s were at their peak; her father taught her the nuance of the game. In the four years that Richard and Joyce Slusser and their young daughter lived in Alameda, the hometown baseball team won three World Setries, creating a fan for life in young Susan. But owner Charlie Finley broke up his dominant team, selling off the pieces. And when the Red Sox knocked off the A’s in the American League Championship Series in 1975, 10-years old Susan – like any normal bandwagon-seeking child – switched her allegiances to the winning team.
In 1976, the Slussers moved to Pebble Beach. At Stevenson, which hadn’t been co-ed for long before she arrived, Slusser relished playing sports, basketball, softball, volleyball, and a stint on the boy lacrosse team. She also worked at the school’s KSP radio station, broadcasting the Salinas Spurs games and school football games. She worked at the Tusitala, the school newspaper. She was a straight-A student.
“Stevenson had a lot to offer and I wanted to take advantage of all the benefits,” she says. “I think my classes at Stevenson were harder than the ones I took later at Sanford.”
Slusser excelled in academics, but she also kept her love of baseball at the storefront forefront. Kerner remembers her friend ditching a history final to go to an A’s/Red Sox game, knowing full well she would likely be caught. Though she was marked down for the final, Slusser still pulled an A in the class.
After graduating from Stevenson and a year at boarding school in England, Slsser enrolled at Stanford. She double-majored in history and English, worked at the Stanford Daily, and broadcast baseball on the school radio station. She also played lacrosse and worked internships at local media outlets, including KCBS, KPIX, and the Sacramento Bee. At one point her French teacher admonished her for packing so much into her schedule.
Her juggling skill is more important than ever now in the changing media world. S;user is expected to blog, tweet, write for the web, make newspaper deadlines, and be a radio an television personality. She also is an avid hockey fan.
In 1999, Slusser was hired by the Chronicle to cover the A’s. Finally, settled in the same area, she got married in November 1999.
Haut dans cette dernière catégorie est la spéculation croissante que l'Oakland sont sur le point de signer Manny Ramirez, le frappeur de puissance disgracié qui-quand il était vêtu d'un uniforme Red Sox de Boston - a été l'un des frappeurs les plus redoutés de notre ère. C'est un geste étrange: une équipe à petit budget qui échangeait beaucoup de leurs joueurs clés dans la morte-saison faire un gros jeu pour une superstar ancien, celui qui a deux fois été contrôlé positif à des produits dopants et brusquement pris sa retraite en 2011.
Le déménagement des A’s a besoin d'être expliqué et analysé. Ce qui signifie que Susan Slusser expertise est requise. Son téléphone sonne sans cesse - ESPN, Sports Comcast Net, les stations de radio à travers le pays - tous les demandant sa perspicacité. Ses messages Twitter et des mises à jour de blog sont Slusser lecture obligatoire est invité à analyser, la sonde, et de clarifier la signature Ramirez.
Pour les 13 dernières années, Slusser a été d'aller à la source de nouvelles que ce soit concernant l'Oakland A. Depuis 1999, elle a couvert l'équipe pour le San Francisco Chronicle, en commençant par les équipes de la A de séries éliminatoires étoiles chargés, par le biais de l'ère Moneyball, dans leurs benthiques ans, à la saison actuelle de faibles attentes et des signatures énigmatiques.
Cette année, l'autorité Slusser va s'étendre au-delà du terrain de baseball. L'hiver dernier, elle a été élue vice-présidente de la Writers Baseball Association of America (BBWAA), ce qui signifie que cette Octobre, elle deviendra la première femme présidente de l'organizatin qui a été fondée en 1908.
"J'aime l'organisation," a déclaré Slusser. "Écrivains de base-ball est un travail difficile. Vous passez huit mois par an loin de votre famille et d'avoir de longues journées et beaucoup de voyages. Tout ce qui aide les écrivains de baseball est quelque chose que je veux faire partie."
La passion de Slusser pour son travail est difficile à manquer. Bien que certains y voient l'un. C'est comme l'une des équipes les moins visibles du baseball, Slusser voit l'équipe comme une mine verte-amd-or d'histoires et de personnalités dont Ramirez est le tout dernier.
Ils forment une équipe très intéressante pour couvrir, “ dit-elle. "Écrire sur Manny va être un grand projet."
Cela Slusser est impliqué avec des surprises de baseball absolument personne qui la connaissait à Stevenson.
Mais si l'auto Slusser de l'école secondaire avait eu sa wayt, elle serait impliquée avec les nouvelles Beaucoup Ramirez d'une manière différente.
Son objectif comme indiqué dans son annuaire Stevenson, était "de posséder les Boston Red Sox." Si cette prédiction se réalisait, elle aurait été la Ramire commercial d'une certaine origine loin de la Red Sox, en commençant son mandat de quatre ans odyssée qui a apporté lui à Oakland cette sprinh.
“C'était mon ambition”, dit Slusser de ses rêves de propriété. “À l'époque, ils vendaient pour seulement $10 ou $12 millions.”
Les temps ont changé dans le baseball. Les Red Sox valent maintenant 617 millions de dollars. Nd Ssser a changé avec eux, de s'adapter aux évolution des modes de journalisme tout en continuant à dominer son rythme.
Loin de l'occupation romantique que les fans d'envisager, un travail de base-ball qui mâche des écrivains et les recrache. Le voyage est implacable, le rythme impitoyable. La saison commence avec 7 AM réveil appels à la mi-Février et se termine avec des délais de minuit n novembre, suivie par un mois de nouvelles poêle chaud en Décembre et une Janvier de signatures des joueurs. Il ya à peine un jour de congé dans l'année civile.
Mais le baseball n'a pas usé Slusser. Au contraire, elle se nourrit de la routine quotidienne et de la concurrence.
“J’aime bien,” dit-elle. "Baseball s’écrit par lui-même. Parfois, le voyage me porte vers le bas et l'Internet a rendu la tâche plus difficile, mais j'ai vraiment adoré couvrant de baseball."
L’amour qu’a Slusser pour le match a été perfectionné dans l'enfance. Son père Richard était un officier de marine, et quand la famille vivait à Guam, très sportif petits était disponible, mais Susan se souvient des scores en lecture de baseball.
La famille a déménagé à Alameda, en 1972, lorsque les A’s étaient à leur apogée, son père lui a appris la nuance du jeu. Dans les quatre ans que Richard et Joyce Slusser et leur jeune fille a vécu à Alameda, l'équipe de baseball ville natale a remporté trois Setries monde, la création d'un ventilateur pour la vie chez les jeunes Susan. Mais le propriétaire de Charlie Finley rompu son équipe dominante, de vendre les pièces. Et quand les Red Sox a frappé au large de la Une est dans la série American League Championship en 1975, de 10 ans Susan -. Comme n'importe quel train en marche normale de recherche de l'enfant - mis ses allégeances à l'équipe gagnante.
En 1976, les Slussers déménagé à Pebble Beach. Au Stevenson, qui n'avait pas été co-ed pour longtemps avant son arrivée, Slusser savouré la pratique de sports, basket-ball, le softball, le volley-ball, et un passage de l'équipe garçon de crosse. Elle a également travaillé à la station de radio de l'école KSP, la diffusion de l'Spurs Salinas jeux et l'école des matches de football. Elle a travaillé à la Tusitala, le journal de l'école. Elle était une étudiante avec seulement des “A”.
“Stevenson avait beaucoup à offrir et je voulais profiter de tous les avantages”, dit-elle. “Je pense que mes cours à Stevenson étaient plus durs que ceux que j'ai eu plus tard à Stanford.”
Slusser a excellée dans les voies universitaires, mais elle a aussi gardé son amour du baseball à la fine pointe. Kerner se souvient de son ami d'amerrissage forcé une histoire définitive d'aller à un A / Red Sox jeu, sachant très bien qu'elle serait probablement pris. Même si elle a été marquée vers le bas pour la finale, Slusser encore tiré un A dans la classe.
Après avoir été diplômée de Stevenson et un an au pensionnat en Angleterre, Slusser s’inscrit à l'Université Stanford. Elle double majeure en histoire et en anglais, a travaillé à la Stanford Daily, et de base-ball diffusés sur la station de radio scolaire. Elle a également joué des stages de crosse et a travaillé à des médias locaux, y compris KCBS, les kilopixel et le Sacramento Bee. À un moment donné son professeur de français l’a disputé pour l'emballage tant dans son horaire.
Son habileté de jonglage est plus important que jamais aujourd'hui dans le monde changeant des médias. S; l'utilisateur devrait au blog, tweet, écrire pour le web, faire des échéances de journaux, et d'être une radio d'une personnalité de la télévision. Elle est également un fervent amateur de hockey.
En 1999, Slusser a été embauché par le San Francisco Chronique de couvrir les A’s. Enfin, elle s’est installée dans la même zone et elle s'est mariée en novembre 1999.
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It’s early Spring and the Arizona desert is starting to fill up with baseball players, beat reporters, rumors, and rumblings. Our successful Silicon Valley Businesswoman of today is playing hard with some pretty cool players. Susan Slusser is my featured woman this morning and she is a proud member of the Oakland A’s team.
High in the latter category is the growing speculation that the Oakland A’s are about to sign Manny Ramirez, the disgraced slugger who –when he was wearing a Boston Red Sox uniform – was one of the most feared hitters of our era. It’s an odd move: a low-budget team that traded many of their key players in the off-season making a big play for a former superstar, one who has twice tested positive for performance-enhancing drugs and abruptly retired in 2011.
The A’s move needs to be explained and analyzed. Which means Susan Slusser expertise is required. Her phone rings constantly – ESPN, Comcast Sports Net, radio stations across the country – all requesting her insight. Her Twitter posts and blog updates are mandatory reading Slusser is asked to parse, probe, and clarify the Ramirez signing.
For the past 13 years, Slusser has been to go to source for any and all news about the Oakland A’s. Since 1999, she has covered the team for the San Francisco Chronicle, starting with the A’s star-laden playoff teams, through the Moneyball era, into their bottom-dwelling years, to the current season of low expectations and puzzling signings.
This year, Slusser’s authority will expand beyond the baseball field. Last winter she was elected vice president of the Baseball Writers Association of America (BBWAA), which means that this October she will become the first woman president of the organizatin which was founded in 1908.
“I love the organization,” Slusser said. “Baseball writers have a hard job. You spend eight months a year away from your family and have long days and lots of travel. Anything that helps baseball writers is something I want to be part of.”
Slusser’s passion for her job is hard to miss. Though some see the A’s as one of baseball’s less visible teams, Slusser sees the team as a green-amd-gold mine of stories and personalities of which Ramirez is just the latest.
They’re a very interesting team to cover,” she says. “Manny’s gong to be great to write about.”
That Slusser is involved with baseball surprises absolutely no one who knew her at Stevenson.
But if Slusser’s high school self had had her wayt, she would be involved with the Many Ramirez news in a different way.
Her goal as listed in her Stevenson yearbook, was “to own the Boston Red Sox.” If that prediction had come true, she would have been the one originally trading Ramire away from the Red Sox, beginning his four-year odyssey that has brought him to Oakland this sprinh.
“That was my ambition,” Slusser says of her ownership dreams. “Back then they were selling for only $10 or $12 million.”
Times have changed in baseball. The Red Sox are now worth $617 million. Nd Ssser has changed along with them, adapting to the changing ways of journalism while continuing to dominate her beat.
Full disclosure I’ve see a friend of Susan’s for more than two decades and watched her evolve from a young reporter into arguably the most thorough and competent beat writer in baseball. Far from the romantic occupation that fans envision, baseball a job that chews of writers and spits them out. The travel is relentless, the pace unforgiving. The season begins with 7 AM wake-up calls in mid-February and ends with midnight deadlines n November, followed by a month of hot-stove news in December and a January of player signings. There’s barely a day off in the calendar year.
But baseball hasn’t worn down Slusser. To the contrary she thrives on the daily routine and competition.
“I love it.” Se says. “Baseball writes itself . Sometimes the travel wears me down and the Internet has made the job more difficult, but I absolutely love covering baseball.”
Slusser’s love of the game was honed in childhood. Her father Richard was a naval officer, and when the family was living in Guam, very little sports was available, bu Susan remembers reading baseball scores.
The family moved to Alameda in 1972 when the A’s were at their peak; her father taught her the nuance of the game. In the four years that Richard and Joyce Slusser and their young daughter lived in Alameda, the hometown baseball team won three World Setries, creating a fan for life in young Susan. But owner Charlie Finley broke up his dominant team, selling off the pieces. And when the Red Sox knocked off the A’s in the American League Championship Series in 1975, 10-years old Susan – like any normal bandwagon-seeking child – switched her allegiances to the winning team.
In 1976, the Slussers moved to Pebble Beach. At Stevenson, which hadn’t been co-ed for long before she arrived, Slusser relished playing sports, basketball, softball, volleyball, and a stint on the boy lacrosse team. She also worked at the school’s KSP radio station, broadcasting the Salinas Spurs games and school football games. She worked at the Tusitala, the school newspaper. She was a straight-A student.
“Stevenson had a lot to offer and I wanted to take advantage of all the benefits,” she says. “I think my classes at Stevenson were harder than the ones I took later at Sanford.”
Slusser excelled in academics, but she also kept her love of baseball at the storefront forefront. Kerner remembers her friend ditching a history final to go to an A’s/Red Sox game, knowing full well she would likely be caught. Though she was marked down for the final, Slusser still pulled an A in the class.
After graduating from Stevenson and a year at boarding school in England, Slsser enrolled at Stanford. She double-majored in history and English, worked at the Stanford Daily, and broadcast baseball on the school radio station. She also played lacrosse and worked internships at local media outlets, including KCBS, KPIX, and the Sacramento Bee. At one point her French teacher admonished her for packing so much into her schedule.
Her juggling skill is more important than ever now in the changing media world. S;user is expected to blog, tweet, write for the web, make newspaper deadlines, and be a radio an television personality. She also is an avid hockey fan.
In 1999, Slusser was hired by the Chronicle to cover the A’s. Finally, settled in the same area, she got married in November 1999.
Sunday, July 8, 2012
Beach Hut Café
Arrêt pour le déjeuner - dire poulet et les saucisses de pomme et une poire épicée lassi – au Beach Hut Café, une lumière-sur-le-terre qui réutilise l'eau de pluie restaurant et intègre l'énergie solaire et éolienne, et récupéré le séquoia. La vue depuis les chaises en plastique recyclé sur ses rivaux avant que le café au réchauffement Hut, à l'extrémité ouest de Crissy Field.
Il n'est pas étonnant que Beach Hut Café a été surnommé le café avec une vue un million de dollars.
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Stop for lunch – say chicken and apple sausage and a spiced pear lassi – at Beach Hut Café, a light-on-the-land eatery that reuses rainwater and incorporates solar and wind power and salvaged redwood. The view from the recycled-plastic chairs out front rivals that at the Warming Hut café, on the west end of Crissy Field.
It is no wonder that Beach Hut Café has been dubbed as the café with a million-dollar view.
Il n'est pas étonnant que Beach Hut Café a été surnommé le café avec une vue un million de dollars.
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Stop for lunch – say chicken and apple sausage and a spiced pear lassi – at Beach Hut Café, a light-on-the-land eatery that reuses rainwater and incorporates solar and wind power and salvaged redwood. The view from the recycled-plastic chairs out front rivals that at the Warming Hut café, on the west end of Crissy Field.
It is no wonder that Beach Hut Café has been dubbed as the café with a million-dollar view.
Saturday, July 7, 2012
Revolution Ramen
La boutique de nouilles japonaise est vu comme un bar à sushi. À des endroits comme Underbelly à San Diego, les plats ramen aujourd'hui comprennent des ajouts non traditionnels comme des boulettes de queue de bœuf, poitrine fumé, et huile de truffe, le tout servi dans une ambiance bar à vin. Et vous osez essayer de trouver un meilleur démarreur de conversation que le restaurant d'un portrait de 15 pieds en hauteur de Mao, conçu entièrement en succulents.
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The Japanese noodle shop is gunning for sushi bar status. At places like Underbelly in San Diego, ramen dishes now include nontraditional additions like oxtail dumplings, smoked brisket, and truffle oil, all served in a wine bar atmosphere worthy of date night. And we dare you to find a better conversation starter than the restaurant 15-foot portrait of Mao, rendered entirely in succulents.
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The Japanese noodle shop is gunning for sushi bar status. At places like Underbelly in San Diego, ramen dishes now include nontraditional additions like oxtail dumplings, smoked brisket, and truffle oil, all served in a wine bar atmosphere worthy of date night. And we dare you to find a better conversation starter than the restaurant 15-foot portrait of Mao, rendered entirely in succulents.
Friday, July 6, 2012
Thursday, July 5, 2012
En ce jeudi, je vous présente un autre artiste de talent, Rod Williams. Il est diplômé de l'École de l'Université de Washington des Beaux-Arts à St-Louis, au Missouri, mais a travaillé comme architecte d'intérieur pour les magasins de détail jusqu'à environ 15 ans. “Mon médium était alors marqueur magique,” dit-il. “Les dessins que je faisais étaient très détaillées, l'idée était de convaincre le client de nous donner son entreprise.”
De travail dans l'huile est un nouveau départ pour Williams, qui a changé à partir de l'aquarelle, car dit-il, “Dans le monde de l'art, l'aquarelle est plus difficile à vendre, dans chaque galerie, il ya 50 huiles pour tous les trois aquarelles. C'est un exercice différent, mais mes huiles sont tout aussi serré que mes aquarelles l’étaient.”
Heureusement obsédé, Williams peint tous les jours, parfois huit ou neuf heures par jour. “Ce n'est pas un problème parce que ma femme est généralement à jouer au bridge. Nous nous réunissons pour les cocktails et le dîner. Je passe la plupart de mes heures de veille, soit la peinture ou de penser à la peinture. Parfois je me réveille au milieu de la nuit, quand une image vient à l'esprit, mais se lever à peindre dans le noir n'est pas une bonne chose.”
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On this Thursday, I am featuring another talented artist, Rod Williams. He graduated from Washington University’s School of Fine Arts in St-Louis, Missouri, but worked as an interior designer for retail stores until about 15 years ago. “My medium then was magic marker,’ he says. “The drawings I did were very detailed, the idea was to convince the client to give us his business.”
Working in oil is a departure for Williams, who switched from watercolor because he says, “In the world of art, watercolor is harder to sell, in every gallery, there are 50 oils for every three watercolors. It’s a different exercise, but my oils tend to be just as tight as my watercolors were.’
Happily obsessed, Williams paints every day sometimes eight or nine hours a day. “It’s not a problem because my wife is usually playing bridge. We meet for cocktails and diner. I spend most of my waking hours either painting or thinking about painting. Sometimes I wake up in the middle of the night, when an image comes to mind, but getting up to paint in the dark is not a good thing.”
De travail dans l'huile est un nouveau départ pour Williams, qui a changé à partir de l'aquarelle, car dit-il, “Dans le monde de l'art, l'aquarelle est plus difficile à vendre, dans chaque galerie, il ya 50 huiles pour tous les trois aquarelles. C'est un exercice différent, mais mes huiles sont tout aussi serré que mes aquarelles l’étaient.”
Heureusement obsédé, Williams peint tous les jours, parfois huit ou neuf heures par jour. “Ce n'est pas un problème parce que ma femme est généralement à jouer au bridge. Nous nous réunissons pour les cocktails et le dîner. Je passe la plupart de mes heures de veille, soit la peinture ou de penser à la peinture. Parfois je me réveille au milieu de la nuit, quand une image vient à l'esprit, mais se lever à peindre dans le noir n'est pas une bonne chose.”
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On this Thursday, I am featuring another talented artist, Rod Williams. He graduated from Washington University’s School of Fine Arts in St-Louis, Missouri, but worked as an interior designer for retail stores until about 15 years ago. “My medium then was magic marker,’ he says. “The drawings I did were very detailed, the idea was to convince the client to give us his business.”
Working in oil is a departure for Williams, who switched from watercolor because he says, “In the world of art, watercolor is harder to sell, in every gallery, there are 50 oils for every three watercolors. It’s a different exercise, but my oils tend to be just as tight as my watercolors were.’
Happily obsessed, Williams paints every day sometimes eight or nine hours a day. “It’s not a problem because my wife is usually playing bridge. We meet for cocktails and diner. I spend most of my waking hours either painting or thinking about painting. Sometimes I wake up in the middle of the night, when an image comes to mind, but getting up to paint in the dark is not a good thing.”
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Wednesday, July 4, 2012
Tuesday, July 3, 2012
Parlant d'odeurs / Talking Scents
Pourriez-vous avoir la clé d'une meilleure nouvelle année en votre ... le nez? Certains arômes peuvent vous aider à perdre du poids, mieux perçus et plus.
1 - Fleurs mixtes. Vous aide à terminer les tâches rapidement ... Cette odeur aide les sujets de l'étude à compléter une série de 66 différents tests cognitifs 17% plus rapides que ceux qui n'ont pas renifler l'odeur.
2 - Café. Donne des moments de plaisir ... Les bénévoles qui sentaient les grains de café et ont ensuite été invités à indiquer quand les secondes 60 avait passé attendu, en moyenne, jusqu'à ce que la marque 1:35 à prendre la parole.
3 - Jasmine. Augmente la capacité athlétique ... Les femmes quilleuses ont effectué 26,5% de mieux en la présence de ce parfum, selon une étude. La raison: Jasmine est pensé pour réduire l'anxiété et l'humeur augmentation, deux facteurs qui améliorent les comportements qualifiés.
4 - Pamplemousse. Permet de mieux paraitre ... Passer le botox et spritz sur un parfum de pamplemousse rose à paraître plus jeune. Les gens portant un marque infusé avec de l'arôme ont été invités à deviner les âges modèles et ont sous-estimé leur réponse jusqu'à 8 ans.
5 - Banane, menthe poivrée ou de pomme verte. Stimule la perte de poids ... Dans une étude de 3193 personnes, une bouffée de ces parfums aidé sujets versé environ 5 livres par mois - même si elles n'a apporté aucune modification à leur régime alimentaire ou l'exercice de routine.
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Could the key to a better new year be all in your… nose? Certain aromas may help you lose weight, look better and more.
1- Mixed Florals. Help you finish tasks quickly… This smell helped study subjects complete a series of 66 different cognitive tests 17% faster than those who didn’t sniff the scent.
2- Coffee. Makes fun times last… Volunteers who smelled coffee beans and were then asked to indicate when 60 seconds had passed waited, on average, until the 1:35 mark to speak up.
3- Jasmine. Increases athletic ability… Women bowlers performed 26.5% better in the presence of this fragrance, according to one study. The reason: Jasmine is thought to reduce anxiety and increase mood, two factors that improve skilled behaviors.
4- Grapefruit. Makes you look better… Skip the botox and spritz on a perfume with pink grapefruit to appear younger. People wearing masks infused with the aroma were asked to guess models’ ages – and underestimated by up to 8 years.
5- Banana, Peppermint or green apple. Stimulates weight loss… In a study of 3,193 people, a whiff of these scents helped subjects shed about 5 pounds a month – even though they made no changes to their diet or exercise routine.
1 - Fleurs mixtes. Vous aide à terminer les tâches rapidement ... Cette odeur aide les sujets de l'étude à compléter une série de 66 différents tests cognitifs 17% plus rapides que ceux qui n'ont pas renifler l'odeur.
2 - Café. Donne des moments de plaisir ... Les bénévoles qui sentaient les grains de café et ont ensuite été invités à indiquer quand les secondes 60 avait passé attendu, en moyenne, jusqu'à ce que la marque 1:35 à prendre la parole.
3 - Jasmine. Augmente la capacité athlétique ... Les femmes quilleuses ont effectué 26,5% de mieux en la présence de ce parfum, selon une étude. La raison: Jasmine est pensé pour réduire l'anxiété et l'humeur augmentation, deux facteurs qui améliorent les comportements qualifiés.
4 - Pamplemousse. Permet de mieux paraitre ... Passer le botox et spritz sur un parfum de pamplemousse rose à paraître plus jeune. Les gens portant un marque infusé avec de l'arôme ont été invités à deviner les âges modèles et ont sous-estimé leur réponse jusqu'à 8 ans.
5 - Banane, menthe poivrée ou de pomme verte. Stimule la perte de poids ... Dans une étude de 3193 personnes, une bouffée de ces parfums aidé sujets versé environ 5 livres par mois - même si elles n'a apporté aucune modification à leur régime alimentaire ou l'exercice de routine.
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Could the key to a better new year be all in your… nose? Certain aromas may help you lose weight, look better and more.
1- Mixed Florals. Help you finish tasks quickly… This smell helped study subjects complete a series of 66 different cognitive tests 17% faster than those who didn’t sniff the scent.
2- Coffee. Makes fun times last… Volunteers who smelled coffee beans and were then asked to indicate when 60 seconds had passed waited, on average, until the 1:35 mark to speak up.
3- Jasmine. Increases athletic ability… Women bowlers performed 26.5% better in the presence of this fragrance, according to one study. The reason: Jasmine is thought to reduce anxiety and increase mood, two factors that improve skilled behaviors.
4- Grapefruit. Makes you look better… Skip the botox and spritz on a perfume with pink grapefruit to appear younger. People wearing masks infused with the aroma were asked to guess models’ ages – and underestimated by up to 8 years.
5- Banana, Peppermint or green apple. Stimulates weight loss… In a study of 3,193 people, a whiff of these scents helped subjects shed about 5 pounds a month – even though they made no changes to their diet or exercise routine.
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Monday, July 2, 2012
Amanda Wixted
Appelée "la Jay Z du monde de la technologie" par le Huffington Post et répertorié comme l'un des "dix innovatrices Best Buy aurait pu mettre dans son annonce du Super Bowl," Amanda Wixted s'était fait un nom pour elle-même comme l'un des monde les développeurs de jeux de haut niveau. Chaque jeu iPhone, elle a travaillé sur lui a valu une place sur la liste d'Apple de le top 10 des applications gratuites sur l'App Store.
Autrefois, le plomb technologie de l'équipe iPhone de Zynga et le premier de la compagnie de l'ingénieur mobile, Amanda a aidé à développer des applications iPhone pour les jeux à succès comme Farmville, Live Poker, Mafia Wars, et Scramble.
Elle a également travaillé à Namco Networks, où elle a créé Pac Man et Ms. Pacman pour le lancement de l'iPhone App Store.
Amanda n'a pas toujours été un «techno» et elle a trouvé sa voie dans cette carrière presque par hasard. Après Stevenson, Amanda est allé à l'Université de Tulane, où elle avait choisi de se spécialiser en écriture créative et la danse. Tout en prenant une classe de calcul, elle a rencontré des étudiants à travers son groupe d'étude qui étaient majors de l'informatique. Ils lui ont montré sur ce q’ils étaient en train de travailler, et le prochain semestre, elle s'est inscrite dans une classe. Elle est devenue "totalement accro." Amanda transféré de l'Université de l’Arizona pour son programme informatique et a décroché un emploi dès la sortie de l'école avec Poulpes, une société de développement du jeu sur mobile.
"J'ai été très chanceuse de trouver un emploi en tant que développeur de jeux dès la sortie de l'école. J'étais au bon endroit au bon moment, "Amanda dit à propos de son passage Poulpes, où elle a développé des jeux pour les téléphones Nokia.
En 2008, elle a rejoint Zynga "avant que quiconque ait jamais entendu parler d'eux», comme le premier développeur embauché pour son programme de jeux mobiles. Elle était la seule femme de l'équipe de 14 programmeurs. Lorsque TechFemme magazine en ligne a demandé ce que c'était que de diriger une équipe entièrement masculine, dit-elle.
“Je ne sais pas maintenant toute différente, il est donc difficile à dire. Mais je pense que les différences de personnalité individuels l'emportent sur les différences entre les sexes.”
Et en mai 2011, elle a commencé sa propre entreprise, Hyperspace, l'élaboration d'un mobile, basé sur la localisation de jeu appelé Club Géographie Turf, qu’Amanda décrit comme «un croisement entre Four-Square et Monopoly" Amanda dit. "L'élément-clé d'une application réussie est sa viralité sociale, qui vient de l'installation de dispositifs qui encouragent les utilisateurs à partager des informations pertinentes, engageant au sujet de leurs activités sur l'application en ligne avec leurs cercles sociaux.” Amanda aime les défis techniques de son travail et la création de "produits frais que je connais les gens aimeront." Elle savoure les heures à l'ordinateur le développement de code et résolution de problèmes. Et une partie de la ténacité et la patience qu'elle attribue à son expérience sur l'expédition Wilderness Sophomore à Stevenson.
"Il y avait des moments très durs lorsque vous avez froid et faim, et vous ne pensez pas que vous pouvez faire une autre étape. Puis quelqu'un vous dit que vous le pouvez, puis vous pouvez faire. Expo m'a appris que vous pouvez faire des choses que vous ne pensez pas que vous pourriez faire."
Et il n'y a pas beaucoup Amanda ne pense pas qu'elle peut faire. Elle est actuellement en consultation pour les entreprises de jeux d'autres, alors qu'elle figure sur son prochain grand défi. Elle dit: «Je suis intéressé par la création des jeux pour aider les enfants à apprendre sur la science informatique. Je pense que l'informatique sera bientôt aussi critique au curriculum en tant que science et en mathématiques. Et si je peux aider le rendre amusant, d'autant mieux."
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Called “the Jay Z of the tech world” by the Huffington Post and listed as one of the “ten lady innovators Best Buy could’ve put in its Super Bowl ad,” Amanda Wixted had made a name for herself as one of the world’s top game developers. Every iPhone game she’s worked on has earned a spot on Apple’s list of the top 10 free apps in the App store.
Formerly the tech lead on Zynga’s iPhone team and the company’s first mobile engineer, Amanda helped develop iPhone apps for hit games like Farmville, Live Poker, Mafia Wars, and Scramble.
She also worked at Namco Networks, where she created Pac Man and Ms. Pacman for the launch of the iPhone App Store.
Amanda wasn’t always a “techie” and she found her way into this career almost accidentally. After Stevenson, Amanda went to Tulane University, where she had chosen to major in creative writing and dance. While taking a calculus class, she met students through her study group who were computer science majors. They showed her what thety were working on, and the next semester she enrolled in a class. She was “totally hooked.” Amanda transferred to the University of AZ for its computer science program and landed a job right out of school with Octopi, a mobile game development company.
“I was really lucky to get a job as a game developer right out of school. I was at the right place at the right time,” Amanda says about her Octopi stint, where she developed to games for Nokia phones. In 2008, she joined Zynga “before anyone had even heard of them” as the first developer hired for its mobile gaming program. She was the only female on team of 14 programmers. When online magazine TechFemme asked what it was like to lead an all-male team, she said. “I don’t now any different, so its hard to say. But I think individual personality differences outweigh the gender differences.”
And in May 2011, she started her own company, Hyperspace, developing a mobile, location-based game called Turf Geography Club, which Amanda describes as “a cross between Four-Square and Monopoly” Amanda says. “The key element of a successful app is its social virality, which comes from building features that encourage users to share relevant, engaging information about their activities on the app with their online social circles.”
Amanda loves the technical challenges of her job and creating “cool products that I know people will enjoy.” She relishes the hours at the computer developing code and problem solving. And some of the tenacity and patience she attributes to her experience on the Sophomore Wilderness Expedition at Stevenson. “There were extremely hard moments when you’re cold and hungry and you don’t think you can make it another step. Then someone tells you you can, and then you can do. Expo taught me you can do the things you didn’t think you could do.”
And there’s not much Amanda doesn’t think she can do. She’s currently consulting for other gaming companies while she figures out her next big challenge. She says, “I’m interested in creating games to help kids learn about computer science. I think computer science will soon be as critical to curriculum as science and math. And if I can help make it fun, all the better.”
Autrefois, le plomb technologie de l'équipe iPhone de Zynga et le premier de la compagnie de l'ingénieur mobile, Amanda a aidé à développer des applications iPhone pour les jeux à succès comme Farmville, Live Poker, Mafia Wars, et Scramble.
Elle a également travaillé à Namco Networks, où elle a créé Pac Man et Ms. Pacman pour le lancement de l'iPhone App Store.
Amanda n'a pas toujours été un «techno» et elle a trouvé sa voie dans cette carrière presque par hasard. Après Stevenson, Amanda est allé à l'Université de Tulane, où elle avait choisi de se spécialiser en écriture créative et la danse. Tout en prenant une classe de calcul, elle a rencontré des étudiants à travers son groupe d'étude qui étaient majors de l'informatique. Ils lui ont montré sur ce q’ils étaient en train de travailler, et le prochain semestre, elle s'est inscrite dans une classe. Elle est devenue "totalement accro." Amanda transféré de l'Université de l’Arizona pour son programme informatique et a décroché un emploi dès la sortie de l'école avec Poulpes, une société de développement du jeu sur mobile.
"J'ai été très chanceuse de trouver un emploi en tant que développeur de jeux dès la sortie de l'école. J'étais au bon endroit au bon moment, "Amanda dit à propos de son passage Poulpes, où elle a développé des jeux pour les téléphones Nokia.
En 2008, elle a rejoint Zynga "avant que quiconque ait jamais entendu parler d'eux», comme le premier développeur embauché pour son programme de jeux mobiles. Elle était la seule femme de l'équipe de 14 programmeurs. Lorsque TechFemme magazine en ligne a demandé ce que c'était que de diriger une équipe entièrement masculine, dit-elle.
“Je ne sais pas maintenant toute différente, il est donc difficile à dire. Mais je pense que les différences de personnalité individuels l'emportent sur les différences entre les sexes.”
Et en mai 2011, elle a commencé sa propre entreprise, Hyperspace, l'élaboration d'un mobile, basé sur la localisation de jeu appelé Club Géographie Turf, qu’Amanda décrit comme «un croisement entre Four-Square et Monopoly" Amanda dit. "L'élément-clé d'une application réussie est sa viralité sociale, qui vient de l'installation de dispositifs qui encouragent les utilisateurs à partager des informations pertinentes, engageant au sujet de leurs activités sur l'application en ligne avec leurs cercles sociaux.” Amanda aime les défis techniques de son travail et la création de "produits frais que je connais les gens aimeront." Elle savoure les heures à l'ordinateur le développement de code et résolution de problèmes. Et une partie de la ténacité et la patience qu'elle attribue à son expérience sur l'expédition Wilderness Sophomore à Stevenson.
"Il y avait des moments très durs lorsque vous avez froid et faim, et vous ne pensez pas que vous pouvez faire une autre étape. Puis quelqu'un vous dit que vous le pouvez, puis vous pouvez faire. Expo m'a appris que vous pouvez faire des choses que vous ne pensez pas que vous pourriez faire."
Et il n'y a pas beaucoup Amanda ne pense pas qu'elle peut faire. Elle est actuellement en consultation pour les entreprises de jeux d'autres, alors qu'elle figure sur son prochain grand défi. Elle dit: «Je suis intéressé par la création des jeux pour aider les enfants à apprendre sur la science informatique. Je pense que l'informatique sera bientôt aussi critique au curriculum en tant que science et en mathématiques. Et si je peux aider le rendre amusant, d'autant mieux."
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Called “the Jay Z of the tech world” by the Huffington Post and listed as one of the “ten lady innovators Best Buy could’ve put in its Super Bowl ad,” Amanda Wixted had made a name for herself as one of the world’s top game developers. Every iPhone game she’s worked on has earned a spot on Apple’s list of the top 10 free apps in the App store.
Formerly the tech lead on Zynga’s iPhone team and the company’s first mobile engineer, Amanda helped develop iPhone apps for hit games like Farmville, Live Poker, Mafia Wars, and Scramble.
She also worked at Namco Networks, where she created Pac Man and Ms. Pacman for the launch of the iPhone App Store.
Amanda wasn’t always a “techie” and she found her way into this career almost accidentally. After Stevenson, Amanda went to Tulane University, where she had chosen to major in creative writing and dance. While taking a calculus class, she met students through her study group who were computer science majors. They showed her what thety were working on, and the next semester she enrolled in a class. She was “totally hooked.” Amanda transferred to the University of AZ for its computer science program and landed a job right out of school with Octopi, a mobile game development company.
“I was really lucky to get a job as a game developer right out of school. I was at the right place at the right time,” Amanda says about her Octopi stint, where she developed to games for Nokia phones. In 2008, she joined Zynga “before anyone had even heard of them” as the first developer hired for its mobile gaming program. She was the only female on team of 14 programmers. When online magazine TechFemme asked what it was like to lead an all-male team, she said. “I don’t now any different, so its hard to say. But I think individual personality differences outweigh the gender differences.”
And in May 2011, she started her own company, Hyperspace, developing a mobile, location-based game called Turf Geography Club, which Amanda describes as “a cross between Four-Square and Monopoly” Amanda says. “The key element of a successful app is its social virality, which comes from building features that encourage users to share relevant, engaging information about their activities on the app with their online social circles.”
Amanda loves the technical challenges of her job and creating “cool products that I know people will enjoy.” She relishes the hours at the computer developing code and problem solving. And some of the tenacity and patience she attributes to her experience on the Sophomore Wilderness Expedition at Stevenson. “There were extremely hard moments when you’re cold and hungry and you don’t think you can make it another step. Then someone tells you you can, and then you can do. Expo taught me you can do the things you didn’t think you could do.”
And there’s not much Amanda doesn’t think she can do. She’s currently consulting for other gaming companies while she figures out her next big challenge. She says, “I’m interested in creating games to help kids learn about computer science. I think computer science will soon be as critical to curriculum as science and math. And if I can help make it fun, all the better.”
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Sunday, July 1, 2012
Partie de pêche... bredouille / Gone Fishing...
Il y a fort longtemps que les enfants veulent aller pêcher et nous avons pris quelques heures hier matin pour aller pêcher à Loch Lomond. Les lacs sont rares en Californie (j'étais gâtée au Québec avec nos nombreux lacs) et à Loch Lomond, on doit se contenter d'un lac artificiel avec des fermes de poissons.
Je pense que cela doit faire longtemps qu'ils n'ont pas rempli leur lac car nous sommes revenus bredouille... Il en est de même pour les autres pêcheurs que nous avons rencontrés.
Oh well, on nous a dit que cela ira à l'an prochain pour remplir le lac de poissons. On s'y reprendra...
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It's been a while since the kids are nagging us to bring them fishing so we took a few hours yesterday morning to fish at Loch Lomond. Lakes are a rare sight in California (I was spoiled in Quebec with our numerous lakes) and at Loch Lomond, we have to be happy with an artificial lake filled with farmed fishes.
I think it's been a while since they filled their lake with fishes because we didn't catch anything... It was the same for the other fishermen we met.
Oh well, they told us it won't be until next year until they have another shipment of fresh fishes. We will be back...
Je pense que cela doit faire longtemps qu'ils n'ont pas rempli leur lac car nous sommes revenus bredouille... Il en est de même pour les autres pêcheurs que nous avons rencontrés.
Oh well, on nous a dit que cela ira à l'an prochain pour remplir le lac de poissons. On s'y reprendra...
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It's been a while since the kids are nagging us to bring them fishing so we took a few hours yesterday morning to fish at Loch Lomond. Lakes are a rare sight in California (I was spoiled in Quebec with our numerous lakes) and at Loch Lomond, we have to be happy with an artificial lake filled with farmed fishes.
I think it's been a while since they filled their lake with fishes because we didn't catch anything... It was the same for the other fishermen we met.
Oh well, they told us it won't be until next year until they have another shipment of fresh fishes. We will be back...
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